Prostituées de Paris - La nouvelle Gomorrhe et sa bohème Posté le 25/06/2021 Par Dieu

Prostituées de Paris - La nouvelle Gomorrhe et sa bohème

Au début du XIXe siècle, la prostituées de paris, ainsi que plusieurs villes de France ; et les bordels légaux ont commencé à apparaître qui étaient contrôlés par le gouvernement français à l'époque, qui étaient connus sous le nom de maisons proches o Maisons de tolérance.

Ces établissements, à l'aspect extérieur très discret ; ils étaient tenus par d'anciennes prostituées et l'exigence était qu'ils soient identifiés par une lanterne rouge lorsqu'ils étaient ouverts. D'autre part, à prostituées de paris Ils n'ont été autorisés à quitter la maison que pendant quelques jours ; seulement s'ils étaient accompagnés de leur patron.

Lieux où la vie s'est faite la nuit à Paris

Photo 1 Prostituées de Paris – La nouvelle Gomorrhe et sa bohème

En 1810, la ville de Paris comptait 180 maisons closes officiellement agréées. C'étaient des endroits comme des tavernes, des bordels et des cabarets ; servi d'inspiration à de nombreux artistes qui ont vécu les nuits de la Belle Epoque de Paris.

Tous ces lieux étaient le symbole de la vie de bohème et du plaisir. Quelques peintres comme Edgar Degas, Toulouse Lautrec, Théophile Alexandre Steinlen, Louis Legrand, entre autres ; ils ont réussi à capturer dans leurs œuvres la réalité quotidienne de cet environnement et bien sûr ; la vie intime de ces putes vip qui ne sont jamais sortis de leurs épreuves.

Grâce aux œuvres de ces artistes, il était possible de connaître le corps et le visage de ces femmes ; cependant, quelques détails de leurs histoires personnelles sont connus à leur sujet. La vie nocturne tournait autour des maisons closes ou cabarets les plus célèbres de Paris ; comme le Moulin de la Galette, Le Chat Noir, Le Laplin Agile et le Moulin Rouge, entre autres.

Dans ces lieux le escortes c'étaient les stars, qui se consacraient à travailler comme danseuses, serveuses, chanteuses et parfois aussi comme prostituées.

Réglementations et maladies

Lorsque le gouvernement français a réglementé la prostitution, le filles d'escorte Ils devaient être enregistrés et se soumettre à des contrôles médicaux et administratifs mensuels ; afin d'éviter la propagation de la syphilis, un fléau qui est venu infecter de nombreuses personnes de l'époque.

De même, pour que leur activité soit légale, les femmes devaient s'enregistrer et se contrôler ; s'ils n'étaient pas arrêtés et internés à la prison Saint Lazare. Malgré toutes les réglementations, la syphilis fut la cause de la mort de nombreux artistes ; comme Jules de Goncourt, Charles Baudelaire, Georges Seurat, Guy de Maupassant, Paul Gaugin, Henri Toulouse-Lautrec, entre autres.

Cette maladie infectieuse est survenue principalement en milieu urbain; et c'est pourquoi les écrits de l'époque appelaient Paris la nouvelle Gomorrhe. Pour tout cela, les femmes prostituées de paris étaient liés à l'idée de femme fatale (la mort incarnée et l'origine de tous les maux) ; et bien que de la même manière, les femmes soient aussi victimes de ces maladies infectieuses, elles sont marginalisées.

Danses, chants et prostituées de paris

Photo 2 Prostituées de Paris – La nouvelle Gomorrhe et sa bohème

Absolument tout le divertissement de cette époque était basé sur des femmes qui chantaient, dansaient et offraient différents services où la prostitution se démarque. L'une des activités répertoriées est les danses du Moulin de la Galette, où les classes populaires se mêlaient aux messieurs de la ville en quête de nouvelles expériences.

Le principal site d'attention de la ville de Paris était le Moulin Rouge avec son bidon. A cet endroit, les hommes pouvaient trouver des femmes en bas noirs et corsets qui contrastaient avec les jupons blancs des danseuses ; qui étaient dédiés à la présentation de chorégraphies provocantes et de cris sauvages.

D'autres lieux artistiques comme Char Noir seraient alors l'espace de rencontres clandestines ; Ce fut le premier point de rencontre de l'avant-garde artistique à Paris. Là, les clients pouvaient profiter de spectacles et de musiques variées ; ainsi que du cirque et du théâtre d'ombres, mais ce qu'ils recherchent le plus, c'est l'intimité discrète des cabines.

Sans aucun doute, l'un des moyens les plus originaux et les plus ingénieux que les Parisiens aient trouvé pour contourner les réglementations de l'État sur la prostitution était le des femmes brasseries; qu'il s'agissait de brasseries gérées uniquement par des serveuses.

A Paris on en vient à compter environ 130 brasseries, un phénomène qui débute avec l'Exposition Universelle de 1867 et bien qu'initialement orienté vers le tourisme, ce fut un succès général. Peintres, journalistes, écrivains et autres personnages se sont rencontrés dans ces lieux, qui ont organisé par la suite des clubs insolites du XIXe siècle. 

Les prostituées les plus connues du XIXe siècle à Paris

Photo 3 Prostituées de Paris – La nouvelle Gomorrhe et sa bohème

De tout ce que nous avons expliqué ci-dessus, il est évident que la typologie des prostituées de paris c'était très varié.

Au sommet de la pyramide sociale, se trouvaient les courtisanes les plus belles et les plus élégantes ; qui ont fait tomber les riches amoureux et les ont conduits à la ruine avec leurs caprices extravagants, parmi les plus célèbres :

  • Louise Webe "La Goulue"
  • Jane Avril « L'étrange »
  • Yvette Guilbert La « Diseuse »
  • Jeanne Bourgeois "Mistingett"
  • Reine Pomaré
  • Eugénie Buffet
  • Céleste Mogador
  • Mai Belfort
  • Cha-u-kao

Conclusion

Dans cet article nous vous avons un peu expliqué ce que signifiait la prostitution à Paris, depuis sa création ; même de quelle manière les femmes d'alors exerçaient cette profession si ancienne.

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